Vous êtes retraité·e, et vous voulez connaître l’évolution de votre pouvoir d’achat au cours de ces dernières années. Pour calculer l’évolution de votre pouvoir d’achat depuis le 1er janvier 2020, nous mettons à votre disposition un calculateur. Pour l’utiliser c’est très simple, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous ou sur "Télécharger", en dessous de cet article, et de rentrer le montant de votre ou de vos retraites au 1er février 2024 et d’appuyer sur la touche entrée de votre ordinateur et c’est fait...
Vous êtes retraité·e, et vous voulez connaître l’évolution de votre pouvoir d’achat au cours de ces dernières années. Pour calculer l’évolution de votre pouvoir d’achat depuis le 1er janvier 2020, nous mettons à votre disposition un calculateur. Pour l’utiliser c’est très simple, il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous ou sur "Télécharger", en dessous de cet article, et de rentrer le montant de votre ou de vos retraites au 1er février 2024 et d’appuyer sur la touche entrée de votre ordinateur et c’est fait. Instantanément, vous avez l’évolution de votre pouvoir d’achat depuis 2020.
Insee Nouvelle Aquitaine - Les personnes âgées dépendantes en Nouvelle aquitaine (Insee Analyses n° 85): (document PDF joint) - En Nouvelle-Aquitaine, des personnes âgées dépendantes toujours plus nombreuses d’ici 2030 : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4294178
MONDE DIPLOMATIQUE Publié en sept 2023-Les débats sur la fin de vie entre éthique et politique-Comment assurer une mort digne pour tous (document PDF joint P1-P4)-(document PDF P5-P7)-(document PDF P8) .
Réduire le volume des déchets est indispensable. Mais cela ne peut se faire sur le dos des usagers ! C’est pourtant cette logique punitive qu’a choisi le Syndicat Mixte Départemental des Déchets de la Dordogne (SMD3). Sans aucune concertation avec les populations concernées et dans une totale opacité, cette collectivité territoriale, qui a en charge la collecte et le traitement des déchets, impose à marche forcée un nouveau mode de gestion. Supprimant, là où cela fonctionnait pourtant parfaitement, le ramassage au porte à porte (PAP), le SMD3 a commencé à installer ce qu’il nomme des “Points d'apports volontaires” (PAV), son objectif étant une couverture totale du Département à l’horizon 2023.
Implantés souvent très loin du domicile, notamment dans les zones rurales - ce qui implique d’avoir une voiture et remet en cause la nécessaire autonomie des personnes âgées ou malades - dans des endroits parfois dangereux pour la circulation, ces nouveaux containers sont inaccessibles pour les personnes à mobilité réduite et pour toutes celles victimes de handicap, voire simplement pour les personnes de petite taille.
À cela s’ajoute la mise en place d’une redevance dite “incitative”. Appelée à augmenter au fil des années, elle va lourdement gréver le pouvoir d’achat des familles modestes. La limitation drastique du nombre de sacs pouvant être déposés (24 par an pour un foyer de 1 à 2 personnes, 48 pour 3 à 4 et 72 pour 5 et plus) va, de plus, fortement pénaliser les personnes devant porter des protections ou pour les familles ayant un bébé...
La Chambre des comptes de la Nouvelle Aquitaine constate que “l’information financière délivrée aux élus et aux citoyens à travers les annexes du compte administratif est insuffisante (...) Pour l’heure, le niveau de la redevance incitative (RI), qui va peu à peu remplacer la TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères) à compter de 2021, est inconnu”.
Les économies envisagées par le SMD3 portent en large partie sur les personnels, avec la volonté de modifier leur statut, par le biais d’une transformation en un Service public industriel et commercial (SPIC), porte grande ouverte vers la privatisation.
Toutes ces raisons conduisent l’Association des Paralysés de France (APF France Handicap Dordogne), l’Association pour une Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne (ATTAC Périgueux-Nontron), la Société pour l’étude, la protection et l’aménagement de la nature dans le Sud-Ouest (SEPANSO - Dordogne), Défendre l'Intérêt Général en Dordogne (DIGD) et l’Union syndicale des retraités CGT de Dordogne (USR- CGT) à exiger :
– le maintien d’un service public de la collecte et du traitement des déchets accessible à tous et égalitaire – le refus du changement du statut du SMD3 en SPIC – un moratoire sur la mise en place des Points d’apports “volontaires” et le déblocage des points d'apports existants – le retour au Porte à Porte et au ramassage aux points de regroupements qui existaient auparavant – la suppression de la mise en place de la Redevance incitative (RI) pour la mise en place d'une Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagère Incitative (TEOMI)
Voici les interventions lors de la manifestation devant le SMD3 je m'excuse auprès de l’association CERADER car je n'ai pas faire la vidéo si d'autres personnes ont filmé cette intervention merci d'avance de me la communiquer.
a confédération CGT Nationale soutient la juste revendication concernant la collecte des déchets en Dordogne.
« Ils ont répondu à l'appel du Collectif des Usagers Mécontents de la collecte des déchets, de la Sepanso et des retraités de la CGT. Très remontés contre le nouveau système de collecte des déchets, les manifestants dénoncent "la fin du service public"… » Erreur sur le titre de l'article entre 300 et 400 participants et non 100.
Soutien à l'occupation du théâtre Odyssée de Périgueux et de la manifestation contre le projet de loi relative à la sécurité globale et autres textes répressifs.
Samedi 13 mars 2021 Perigueux Manifestation contre le projet de loi relative à la sécurité globale et autres textes répressifs.
Non content de gaver d’argent public les grands groupes financiers et les multinationales, sans aucune garantie pour l’emploie, de favoriser les géants de la grande distribution, de creuser toujours plus le fossé des inégalités avec une insupportable montée d’une pauvreté touchant aujourd’hui près de 12 millions de personnes, soit près de 19% de la population, dans le même temps où flambent les dividendes et s’amassent de gigantesques fortunes, non content de finir de casser nos services publics en offrant au privé tout ce qui est rentable, y compris dans la santé, où les fermetures de lits continuent malgré cette crise sanitaire, contre laquelle nous manquions de masques, de tests et maintenant de vaccins, alors même que quelques mastodontes de l’industrie pharmaceutique ne cessent d’accumuler les bénéfices, non content de laisser perdurer les inégalités entre les femmes et les hommes, particulièrement au travail, et de maltraiter notre jeunesse, non content de contribuer, faute de mesures à la hauteur des enjeux, à détruire notre écosystème, non content de casser cette culture jugée non essentielle - nous tenons d’ailleurs à saluer haut et fort la Coordination des Intermittents et Précaires de Dordogne qui occupe depuis hier après-midi le Théâtre de l’Odysssée pour exiger la réouverture des lieux culturels, des mesures d’urgence en matière d’emploi et l’abandon définitif de la réforme chômage...
Pascale Martin, responsable de Femmes Solidaires Dordogne, a été convoquée lundi 25 novembre par la police, pour un “rappel à la loi”, suite à l’initiative improvisée le matin du samedi précédent sur les marches du Palais de Justice de Périgueux... Il s’agissait en fait d’un“happening improvisé”, l’association ayant respecté l’interdiction par le Préfet de la manifestation qu’elle souhaitait organiser place de la Clautre contre les violences faites aux femmes.
Non content de ce “rappel à la loi”, le Préfet a interdit à Pascale Martin, responsable nationale de la lutte contre les violences faites aux femmes au sein de l’association, de participer, mercredi 25 novembre après-midi, à la réunion tenue en présence de la déléguée départementale, des patrons de la police et de la gendarmerie, d’une représentante du Service d’accompagnement des familles en difficulté (Safed) et de l’association France Victimes, pour dresser le bilan des actions menées dans le département contre ces violences. La responsable de Femmes Solidaires, qui était pourtant dûment convoquée, s’est vue refoulée de la Préfecture par deux policiers.
Face à ces agissements du représentant du Pouvoir, le bureau de l’Union syndicale des retraité-es CGT de Dordogne tient à exprimer sa plus ferme condamnation. Cette initiative visait à dénoncer les violences faites aux femmes. À l’heure où les féminicides continuent de plus belle, ces agissements préfectoraux sont totalement scandaleux, qu’il s’agisse de l’interdiction de manifester, de la convocation au commissariat, alors même que se déroulait la Journée internationale pour l'élimination des violences à l'égard des femmes, ou de l’interdiction de réunion. Ils s’inscrivent dans la dérive sécuritaire orchestrée par le Pouvoir, mettant de plus en plus gravement en cause nos libertés et la démocratie. Nous assurons Pascale Martin et Femmes Solidaires Dordogne de notre pleine et entière solidarité.