Les collectifs
ARGUMENTAIRE RELATIF AU TRANSFERT
DE LA DETTE SOCIALE
L’Assemblée nationale a adopté lundi 15 juin au soir les 2 projets de loi qui organisent un nouveau transfert de dette de l’ACOSS à la CADES (caisse d’amortissement de la dette sociale) et la création d’une 5 branche
de la Sécurité sociale dédiée à la perte d’autonomie.
Le projet de loi ordinaire prévoit, à compter de 2024 un transfert de 0,15 % de CSG, de la CADES à la future branche perte d’autonomie.
Un transfert de dette de 136 Mds€ à la CADES
- Affichages : 1436
Eléments de compréhension
de la note d’information sur le transfert de la
dette de l’ACOSS sur la CADES et la création
de la 5 ème branche/risque de la Sécurité sociale à la perte d’autonomie.
L’ACOSS (Agence Centrale des Organisme de Sécurité Sociale :
Il s’agit de la caisse nationale des URSSAF, c’est la caisse qui assure la gestion de l’ensemble des cotisations sociales patronales et salariales pour toutes les branches ou risques de la Sécurité Sociale.
Aujourd’hui 4 risques sont dans le champ de la Sécu, maladie, famille, accident du travail-maladie professionnelle et retraite – vieillesse.
La CADES – Caisse d’Amortissement de la Dette Sociale :
Créée en 1996 pour « éponger » la dette du régime général de Sécurité sociale. En réalité, elle a été créée pour ne pas augmenter les recettes de la Sécurité Sociale donc les cotisations sociales des entreprises et permettre l’augmentation des exonérations sociales patronales. Elle devait cesser d’exister en 2009, aujourd’hui 2033.
- Affichages : 1340
OUI AU 100 % SECURITE SOCIALE
NON A LA 5 IEME BRANCHE .
DÉFENDRE NOS RETRAITES,
C'EST DÉFENDRE
LA SECURITE SOCIALE.
CLIC CI SUR LE LIEN CI CONTRE :Retraite : Le Pire se prépare toujours !
- Affichages : 1474
POURQUOI ME SYNDIQUER À LA CGT ?
La CGT a vocation de défendre les intérêts individuels et collectifs des salariés. Dans un contexte de recherche de « réduction du coût du travail », nous constatons que nous n’avons pas les mêmes intérêts que nos employeurs. Nous pensons que si nous prenons nos affaires en main, nous pouvons faire changer les choses. Dans beaucoup de services ou d’entreprises, l’action collective a permis des avancées en matière de salaires, de conditions de travail, de lutte contre la précarité… Force est de constater que plus les syndiqués sont nombreux, plus l’ensemble des préoccupations sont embrassées par le syndicat, c’est-à-dire les syndiqués pris collectivement.
- Affichages : 1158